Il était déjà 10h du matin, et Mme Buzzati n'avait toujours pas pris son petit déjeuner.
Affairée derrière son bureau, le jeune femme cherchait en vain et depuis longtemps un fichu papier qu'elle devait impérativement renvoyer cet après midi pour l'assurance. La jeune femme avait toujours été bordélique, alors la paperasse était sa bête noire. *Maaiiiiis je l'avais mis lààààà j'en suis suuuuuure !* Piaffait-elle intérieurement, se mettant à accuser les fantômes (dont elle avait pourtant nié l’existence en installant l'orphelinat ici !) de lui voler ses papiers pour se venger et la faire rager.
Le pire c'était qu'à force de chercher elle avait déplacé tous les papiers, et le peu de rangement qui avait régné une heure plus tot était à présent réduit à néant : Des feuilles s'étalaient partout, sur le bureau, sous le bureau, par terre dans toute la pièce. Un vrai capharnaüm. Elle avait dans ses conditions encore moins de chance de retrouver le précieux document, alors avec un soupir (qui ressemblait plus à un gémissement façon chaton agonisant), elle se mit à ramasser les feuilles une à une en essayant de les trier. Puis s’arrêta, passa 5 longues minutes à regarder par la fenêtre en réfléchissant à la meilleure excuse pour justifier l'absence du papier. N'en trouva pas, reprit son lent ménage, s’arrêta encore pour chercher un moyen de se faire livrer le papier directement depuis l'organisme qui lui avait fourni le 1er exemplaire, se dit qu'ils lui demanderait sans doute d'autres papiers, recommença à ranger. En 20 minutes le bazar avait à peine diminué d'un quart.
Affairée derrière son bureau, le jeune femme cherchait en vain et depuis longtemps un fichu papier qu'elle devait impérativement renvoyer cet après midi pour l'assurance. La jeune femme avait toujours été bordélique, alors la paperasse était sa bête noire. *Maaiiiiis je l'avais mis lààààà j'en suis suuuuuure !* Piaffait-elle intérieurement, se mettant à accuser les fantômes (dont elle avait pourtant nié l’existence en installant l'orphelinat ici !) de lui voler ses papiers pour se venger et la faire rager.
Le pire c'était qu'à force de chercher elle avait déplacé tous les papiers, et le peu de rangement qui avait régné une heure plus tot était à présent réduit à néant : Des feuilles s'étalaient partout, sur le bureau, sous le bureau, par terre dans toute la pièce. Un vrai capharnaüm. Elle avait dans ses conditions encore moins de chance de retrouver le précieux document, alors avec un soupir (qui ressemblait plus à un gémissement façon chaton agonisant), elle se mit à ramasser les feuilles une à une en essayant de les trier. Puis s’arrêta, passa 5 longues minutes à regarder par la fenêtre en réfléchissant à la meilleure excuse pour justifier l'absence du papier. N'en trouva pas, reprit son lent ménage, s’arrêta encore pour chercher un moyen de se faire livrer le papier directement depuis l'organisme qui lui avait fourni le 1er exemplaire, se dit qu'ils lui demanderait sans doute d'autres papiers, recommença à ranger. En 20 minutes le bazar avait à peine diminué d'un quart.